Exposition : la poésie du Symbolisme au Surréalisme. Au CDI du 12 au 26 janvier 2009

Les classes de Première S5 et ES4 vous invitent à l’exposition qu’elles organisent au CDI sur le thème : la poésie du Symbolisme au Surréalisme. Plus de soixante poèmes inédits seront exposés, associant l’art poétique et l’image. De par leur qualité, les textes présentés reflètent la vivacité de la création poétique actuelle. Venez nombreux.

Et sur ce site…

Accédez à l’exposition virtuelle tournante : menu en haut à gauche « Les classes exposent » (*)…

Chaque semaine, de nouveaux textes seront exposés !

(*) Afin de protéger l’anonymat des auteurs mineurs sur Internet, les noms de famille ont été partiellement masqués. Merci de votre compréhension. Enfin, malgré leur qualité, certains textes sont difficilement publiables sur Internet, en raison de la taille trop volumineuse des fichiers graphiques, et de la capacité de stockage limitée du serveur. Vous pouvez bien sûr les voir sur place, puis à la journée « Portes Ouvertes » du damedi 21 mars, et enfin au Salon du Livre du Montargois, où toutes mes classes exposeront.

Concours d'expression orale… Du nouveau !

  • Réunion d’information pour les élèves inscrits : le mardi 20 janvier 2009 à 14h30 à l’amphithéâtre (*).
  • Le concours 2009 se déroulera au Lycée (CDI) en 2 étapes :
    • Les demi-finales auront lieu en février
      • Pour les classes de Première (*) : mardi 3 février (de 13h30 à 17h30)
      • Pour les classes de Seconde (*) : mardi 10 février, le matin (à partir de 10 heures) ET l’après-midi.
    • La finale aura lieu le mardi 10 mars (*) le matin et l’après-midi.

Retrouvez sur ce site dès le lundi 12 janvier des exemples de questions et deux sujets commentés chaque semaine + des tas de conseils pratiques pour vous préparer au mieux à l’épreuve !

(*) Les dates et horaires sont donnés à titre indicatif, sous réserve d’erreurs typographiques ou de modifications ultérieures.

Concours d’expression orale… Du nouveau !

  • Réunion d’information pour les élèves inscrits : le mardi 20 janvier 2009 à 14h30 à l’amphithéâtre (*).
  • Le concours 2009 se déroulera au Lycée (CDI) en 2 étapes :
    • Les demi-finales auront lieu en février
      • Pour les classes de Première (*) : mardi 3 février (de 13h30 à 17h30)
      • Pour les classes de Seconde (*) : mardi 10 février, le matin (à partir de 10 heures) ET l’après-midi.
    • La finale aura lieu le mardi 10 mars (*) le matin et l’après-midi.

Retrouvez sur ce site dès le lundi 12 janvier des exemples de questions et deux sujets commentés chaque semaine + des tas de conseils pratiques pour vous préparer au mieux à l’épreuve !

(*) Les dates et horaires sont donnés à titre indicatif, sous réserve d’erreurs typographiques ou de modifications ultérieures.

Emploi du temps… Apprendre à planifier son travail…

Illustrations gratuites de ÉtudiantLa réussite scolaire passe d’abord par une bonne maîtrise de la planification des tâches. 

Explication…

Du temps linéaire…

Nombreux sont les élèves qui éprouvent des difficultés à planifier leur emploi du temps. De là des retards parfois importants et préjudiciables au bon déroulement de leur scolarité. La raison tient au fait que beaucoup d’élèves ont pris la (mauvaise) habitude d’utiliser (comme dans les « petites classes ») un agenda ou un cahier de texte qui est une méthode de planification du travail assez sommaire. Explication : la représentation du temps sur un agenda est « linéaire » : elle ne permet pas de visualiser le temps dans son ensemble. De là une vision à très court terme, qui n’offre ni anticipation, ni projection, ni planification.

… au temps stratégique

Ce « temps linéaire » est donc un temps partiel, hérité de la petite école ou du collège : on regarde le lundi ce qu’il y a à faire pour le mardi, le mercredi ce qu’il y a à rendre le jeudi ou le vendredi, etc. Tout fonctionne à peu près bien quand la charge de travail est minime. En revanche, dès que le rythme et la densité des exercices augmentent, la méthode ne marche plus, pour la simple raison que ce n’est pas une méthode de travail. Je vous propose un processus qui a fait ses preuves à 100% à haut niveau : il consiste à gérer son temps de façon « stratégique », c’est-à-dire à visualiser les activités sur une longue période. Au lieu de regarder les activités jour après jour, on les visualise dans leur intégralité selon un principe de planification stratégique.

Une méthode efficace et simple

Prenez une grande copie double et faites-vous un calendrier sur un mois (très rapidement… Ne passez pas 10 heures dessus évidemment!). Ensuite, dès que vous notez un travail à faire, une leçon à apprendre dans votre agenda, prenez l’habitude de reporter le travail à faire sur votre tableau : affichez-le près de votre bureau chaque jour afin de bien visualiser l’ensemble des tâches à accomplir.

Très important : prenez l’habitude de « hiérarchiser » les activités en utilisant des codes de couleur : par exemple, préparer une dissertation de français à la maison demande au moins six heures : j’attribue donc un code rouge! J’attribuerai le rouge à tous les exercices nécessitant un lourd investissement. On peut attribuer le code « bleu » aux exercices nécessitant moins de temps (2 à 3 heures par exemple) et le code « vert » aux travaux qu’on peut effectuer encore plus rapidement.

Savoir anticiper…

Si vous regardez attentivement le calendrier, vous voyez que les quinze premiers jours du mois sont « relativement » calmes. En revanche, tout s’accélère ensuite. Sur un agenda traditionnel, la visualisation linéaire empêche une bonne planification. Au contraire ici, vous pouvez d’avance préparer certains exercices afin d’éviter les retards : dans cet exemple, le contrôle d’histoire-géographie le 20, le commentaire de Français le 22, le DST en LV1 le 23 et la prépa de Maths doivent évidemment être planifiés avant : si vous attendez, bonjour la catastrophe !

Personnellement, j’ai été ahuri de voir des élèves de Première affirmer le plus tranquillement du monde qu’ils n’avaient pas eu le temps en 3 semaines de consacrer ne serait-ce que trois heures à préparer une dissertation… Plutôt qu’un relâchement, je préfère voir un gros problème lié à l’organisation du temps de travail. C’est la raison pour laquelle je vous propose cette méthode de planification stratégique. Si vous la suivez, vous n’aurez aucun mal à vous organiser. Je l’ai utilisée même quand j’étais en Doctorat, je l’utilise toujours quand j’ai beaucoup d’activités à finaliser : elle garantit la réussite à 100%.

De plus, elle vous amène (plus tard, professionnellement) à mieux vous organiser en améliorant votre efficience afin de favoriser l’atteinte de vos objectifs, à gérer votre travail selon une logique « d’entreprise » en vous fixant des objectifs de réussite. L’avantage du calendrier que je vous propose est qu’il offre en effet une bonne adaptation à la fois à l’environnement externe (les travaux qu’on vous donne, les tâches que vous devez accomplir) et à vos ressources et vos compétences internes (votre capacité et votre rythme de travail) : en planifiant, vous êtes sûr(e) d’y arriver !

Méthodes de travail… Apprendre avec son smartphone !

Apprendre avec son smartphone ? Non vous ne rêvez pas ! 

Tout le monde a un smartphone… Mais quand on est étudiant (et même après !), on l’utilise davantage pour écouter de la musique que pour potasser ses leçons… Pourtant le smartphone se révèle un accessoire très utile à l’apprentissage de n’importe quel cours, particulièrement pour les enseignements de Lettres ou de Sciences Humaines.

Explication…

Après une journée de travail, la mémoire visuelle est souvent défaillante, surtout si l’on veille tard le soir : fatigue oculaire, difficultés de concentration, troubles de la vision… De plus, votre cerveau est un peu comme un disque dur d’ordinateur : après plusieurs heures de cours sur des matières complètement différentes, une fois rentré chez vous, l’ordinateur, la télévision, les jeux vidéo sollicitent de nouveau votre cerveau. À un certain moment, il ne parvient plus à gérer cette multiplication de signes : il se produit ce que les spécialistes appellent un phénomène de « surcharge cognitive ». Le « disque dur » de votre cerveau est littéralement « fragmenté » : impossible pour lui de restituer convenablement les connaissances, de là de nombreuses confusions, souvent très lourdes de conséquences en situation d’évaluation.

Les limites de la mémoire visuelle

De plus, l’une des limites bien connue de la mémoire visuelle tient à sa difficulté à élaborer du sens : quand on est fatigué, les mots que nous lisons sont transformés en « images », on dit qu’ils sont « chosifiés » car ils ne forment que des « tâches » sur le papier, ne signifiant plus grand chose : on voit des « signes » au lieu de trouver du « sens » à ce qu’on lit. Par ailleurs, en fonctionnant un peu comme un objectif d’appareil photo, la mémoire visuelle capte tout en « rafale », de façon très éphémère, sans hiérarchiser les informations : on se focalisera avec la même attention sur une notion de Français que sur un SMS ou un message de chat !

Les avantages de la mémoire auditive

À l’inverse, travailler la mémoire auditive avec son smartphone présente un grand avantage, à la condition de respecter quelques règles strictes d’utilisation…Si l’image ne s’affiche pas, actualisez la page pour voir la méthode

Si vous êtes chez vous, faites absolument le vide : refusez toute sollicitation extérieure. Éteignez la lumière, allongez-vous au lit, fermez les yeux, et détendez-vous. Ecoutez votre cours le plus attentivement possible, en vous concentrant sur le son de votre voix et le sens des mots. Pendant les silences, répétez à voix haute ce que vous avez entendu (les définitions, les consignes, les formules, etc.).

Vous verrez que même les intervalles musicaux sont importants pour la réussite de l’exercice : ils permettent au cerveau de faire une pause, et de restructurer l’information. Préférez les musiques avec peu de paroles, afin de ne pas perturber le travail de mémorisation, et avec des sons agréables afin de créer une ambiance apaisante (évitez le rap ou le Metal !). Pendant ce laps de temps, vous pouvez repenser tranquillement à ce que vous avez appris, en essayant de le synthétiser et en mémorisant les informations importantes.

Si vous n’apprenez pas de chez vous (par exemple, lorsque vous êtes dans le bus, dans la rue, en voyage), cette méthode se révèlera très utile particulièrement avant les examens. Elle permet de réviser « sans en avoir l’air », sans être obligé de sortir son classeur, ou d’ouvrir ses cahiers. Si vous la pratiquez rigoureusement, vous verrez que la technique est infaillible, surtout quand on a un grand volume d’informations à mémoriser.

  • Cette méthode complète efficacement l’indispensable travail sur les fiches de synthèse. Je vous la recommande pour le Bac et même pour les examens ou concours de haut niveau : BTS, Licence professionnelle, mais aussi classes Prépas, Master, Grandes Ecoles… Plus vous le pratiquerez, et mieux vous maîtriserez l’exercice.

Classes de Première… Prépa au Bac blanc du 3 décembre : l’écrit d’invention.

Tout d’abord, référez-vous à l’article du 9 novembre qui fait le point sur les différents exercices. Pour celles et ceux tentés par l’écriture d’invention, je leur suggère de se préparer de façon très spécifique. Voici trois sujets intéressants pour vos entraînements. Je vous conseille de les traiter dès maintenant !

  • Sujet n°1 : « Choisissez un poème dans votre anthologie. Imaginez que vous l’envoyez à une revue de poésie : dans votre lettre d’accompagnement, vous en défendez l’intérêt par rapport à d’autres types de poèmes. » C’est un sujet très complet : il impose de travailler l’épistolaire (spécificité de la lettre, choix des formules, typographie, etc). Par ailleurs il vous amène à confronter différents types de poèmes : c’est là que vous devez réfléchir aux fonctions de la poésie (par exemple poésie « engagée » par opposition à « l’art pour l’art », etc.). Le plan utilisé peut être de type concessif (« certes… mais… » ; « si… en revanche… »).
  • Sujet n°2 : « Deux lecteurs débattent de leurs goûts en matière de poésie, l’un penchant pour les formes anciennes, l’autre pour des formes nouvelles. Vous rédigerez leur dialogue en veillant à y intégrer des exemples précis ». Dans ce sujet, on vous demande de nouveau deux compétences. Au niveau de la forme, c’est un dialogue (utilisez les verbes introducteurs, rendez votre dialogue vivant par l’emploi d’exclamatives, d’interrogations oratoires, etc.). Pour ce qui concerne les idées, le sujet est plus difficile qu’il n’y paraît car il exige de connaître les contraintes d’écriture propres à la poésie traditionnelle (forme fixe comme le sonnet par exemple, importance de la rime, décompte syllabique, donc une poésie de contraintes et de règles), et en même temps de montrer combien les « Modernes » à partir de Hugo, et surtout des Symbolistes (Baudelaire, Mallarmé) ont transformé la poésie, par exemple en amenant le poème en prose. A ce titre, il est nécessaire évidemment d’envisager la révolution surréaliste (à partir d’Apollinaire qui va renouveler considérablement le langage (arythmie, écriture automatique…).
  • Sujet n°3 : « Pour une revue de poésie créée avec des camarades, vous devez écrire un article intitulé : « Je n’aime pas les vers : j’aime la poésie ! ». Rédigez cet article en l’illustrant de citations tirées de vos lectures scolaires ou personnelles. Vous donnerez à votre prose un ton convaincu, sans aucune familiarité ». Concernant la rédaction d’un article de journal, pas de difficulté majeure : vous avez déjà travaillé sur ce genre. En revanche, le sujet est basé sur un paradoxe qui amène (un peu comme dans le sujet précédent) à envisager la poésie sous un autre angle et à en reproposer la définition. Certains auteurs à partir de Lautréamont ou Rimbaud ont proposé une autre conception du poème : recherches rythmiques, curiosité de phrases, étrangeté de la métaphore, néologismes, etc. redéfinissant les rapports de la prose et du vers. C’est un aspect essentiel sur lequel vous devez travailler.
Mon conseil : pour chacun des sujets, essayez d’en préparer rapidement le plan. Imaginez en une trentaine de minutes la façon dont vous pourriez organiser votre discours à partir d’une problématique, c’est-à-dire d’un questionnement, et surtout (le plus important) réfléchissez à des exemples littéraires que vous pourriez utiliser pour étayer votre propos. Faites-en sorte qu’ils soient précis : auteurs, textes, citations, mouvements, etc.). Evitez absolument le vague saupoudrage, les allusions, l’écriture « au fil de la plume ». N’oubliez pas que pour l’écriture d’invention, une grande partie de la note concerne votre aptitude à exploiter votre culture générale et à la mettre en valeur en exploitant des techniques rédactionnelles.
Enfin, si vous avez bien observé les sujets, vous avez constaté que chacun des intitulés exige deux compétences :
  • la première est d’ordre formel, rédactionnel : c’est le choix du support textuel : article, lettre, discours, dialogue, etc.
  • la deuxième concerne l’exploitation de l’objet d’étude (la poésie, le théâtre, le roman, etc.).
Si vous êtes astucieux, il vous suffit une fois pour toutes de vous faire une fiche par objet d’étude, et une fiche par contrainte de genre (dialogue, monologue, discours, etc.). Cela facilitera considérablement vos révisions!

Classes de Première… Prépa au Bac blanc du 3 décembre : l'écrit d'invention.

Tout d’abord, référez-vous à l’article du 9 novembre qui fait le point sur les différents exercices. Pour celles et ceux tentés par l’écriture d’invention, je leur suggère de se préparer de façon très spécifique. Voici trois sujets intéressants pour vos entraînements. Je vous conseille de les traiter dès maintenant !

  • Sujet n°1 : « Choisissez un poème dans votre anthologie. Imaginez que vous l’envoyez à une revue de poésie : dans votre lettre d’accompagnement, vous en défendez l’intérêt par rapport à d’autres types de poèmes. » C’est un sujet très complet : il impose de travailler l’épistolaire (spécificité de la lettre, choix des formules, typographie, etc). Par ailleurs il vous amène à confronter différents types de poèmes : c’est là que vous devez réfléchir aux fonctions de la poésie (par exemple poésie « engagée » par opposition à « l’art pour l’art », etc.). Le plan utilisé peut être de type concessif (« certes… mais… » ; « si… en revanche… »).
  • Sujet n°2 : « Deux lecteurs débattent de leurs goûts en matière de poésie, l’un penchant pour les formes anciennes, l’autre pour des formes nouvelles. Vous rédigerez leur dialogue en veillant à y intégrer des exemples précis ». Dans ce sujet, on vous demande de nouveau deux compétences. Au niveau de la forme, c’est un dialogue (utilisez les verbes introducteurs, rendez votre dialogue vivant par l’emploi d’exclamatives, d’interrogations oratoires, etc.). Pour ce qui concerne les idées, le sujet est plus difficile qu’il n’y paraît car il exige de connaître les contraintes d’écriture propres à la poésie traditionnelle (forme fixe comme le sonnet par exemple, importance de la rime, décompte syllabique, donc une poésie de contraintes et de règles), et en même temps de montrer combien les « Modernes » à partir de Hugo, et surtout des Symbolistes (Baudelaire, Mallarmé) ont transformé la poésie, par exemple en amenant le poème en prose. A ce titre, il est nécessaire évidemment d’envisager la révolution surréaliste (à partir d’Apollinaire qui va renouveler considérablement le langage (arythmie, écriture automatique…).
  • Sujet n°3 : « Pour une revue de poésie créée avec des camarades, vous devez écrire un article intitulé : « Je n’aime pas les vers : j’aime la poésie ! ». Rédigez cet article en l’illustrant de citations tirées de vos lectures scolaires ou personnelles. Vous donnerez à votre prose un ton convaincu, sans aucune familiarité ». Concernant la rédaction d’un article de journal, pas de difficulté majeure : vous avez déjà travaillé sur ce genre. En revanche, le sujet est basé sur un paradoxe qui amène (un peu comme dans le sujet précédent) à envisager la poésie sous un autre angle et à en reproposer la définition. Certains auteurs à partir de Lautréamont ou Rimbaud ont proposé une autre conception du poème : recherches rythmiques, curiosité de phrases, étrangeté de la métaphore, néologismes, etc. redéfinissant les rapports de la prose et du vers. C’est un aspect essentiel sur lequel vous devez travailler.
Mon conseil : pour chacun des sujets, essayez d’en préparer rapidement le plan. Imaginez en une trentaine de minutes la façon dont vous pourriez organiser votre discours à partir d’une problématique, c’est-à-dire d’un questionnement, et surtout (le plus important) réfléchissez à des exemples littéraires que vous pourriez utiliser pour étayer votre propos. Faites-en sorte qu’ils soient précis : auteurs, textes, citations, mouvements, etc.). Evitez absolument le vague saupoudrage, les allusions, l’écriture « au fil de la plume ». N’oubliez pas que pour l’écriture d’invention, une grande partie de la note concerne votre aptitude à exploiter votre culture générale et à la mettre en valeur en exploitant des techniques rédactionnelles.
Enfin, si vous avez bien observé les sujets, vous avez constaté que chacun des intitulés exige deux compétences :
  • la première est d’ordre formel, rédactionnel : c’est le choix du support textuel : article, lettre, discours, dialogue, etc.
  • la deuxième concerne l’exploitation de l’objet d’étude (la poésie, le théâtre, le roman, etc.).
Si vous êtes astucieux, il vous suffit une fois pour toutes de vous faire une fiche par objet d’étude, et une fiche par contrainte de genre (dialogue, monologue, discours, etc.). Cela facilitera considérablement vos révisions!